Être plus responsable en voyage est un objectif que beaucoup d’entre nous tente d’atteindre. Avec les prises de conscience de notre impact sur l’environnement, en voyage ou au quotidien, on cherche des solutions pour diminuer les conséquences de notre consommation et de notre présence mais ces solutions ne sont pas toujours évidentes ou faciles à trouver, au final toute notre éducation en matière d’écologie est à faire ! Heureusement pour nous, de plus en plus d’initiatives voient le jour et c’est pour les mettre en avant que je vous propose de découvrir 8 gestes écolo en voyage racontés par des blogueurs impliqués dans la longue bataille pour une planète plus propre et plus respectée !
Prendre conscience de sa responsabilité
Je crois que la planète va mal d’après ce que je vois en voyage. Souvent en raison de la surconsommation de plastique. Mais je crois que nous avons tous les moyens, à notre niveau, de contribuer à ce qu’elle aille mieux.
Et si nous prenions conscience de nos gestes au quotidien ? A-t-on vraiment besoin de badigeonner notre brosse à dents de dentifrice, sachant qu’une simple noisette suffit ? De toute façon, on va tout recracher (et polluer l’eau in fine) ! Idem pour le savon et le shampoing. A-t-on vraiment besoin d’acheter des fruits et légumes emballés dans du plastique ? La nature étant bien faite, ces mêmes fruits et légumes ont déjà un emballage naturel ! Je pourrais continuer des heures. Nous avons la capacité d’ouvrir les yeux et de réfléchir à nos actes.
À Bali, je m’attendais au paradis, je me baigne en enfer. Devant le spectacle choquant de certaines plages, je fais le choix de changer et d’agir. Dorénavant, je limite autant que possible ma consommation de bouteilles en plastique en optant pour le refill. Je compte me porter volontaire plus souvent pour des opérations de nettoyage. Je me joins au mouvement Run Eco Team. Et je parle de tout ça !
La planète va mal. Mais je crois que nous avons tous les moyens de contribuer à ce qu’elle aille mieux.
iclo – #LaVieCestMieux
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Vienne et les initiatives locales
Même si des progrès peuvent encore être faits, notamment côté zéro déchet, Vienne fait partie des villes qui ont une conscience écologique et où la nature est aussi très présente. Il vous sera possible d’y appliquer ou conserver certains gestes simples et efficaces : les transports en commun y sont extrêmement bien pensés : nul besoin d’une voiture à Vienne, on peut tout faire en tram, métro, bus, y compris aller au château de Schönnbrunn, un peu excentré. Le centre historique se fait aussi facilement à pied, et vous trouverez également beaucoup d’endroits dans la rue où vous pouvez emprunter des vélos.
Pour les courses, emmenez votre tote bag – ou votre caddie si vous voulez faire comme les locaux : les commerçants sont habitués et ils vous proposeront juste parfois « ein Sackerl ? » (un sac ?) que vous pouvez refuser sans problème, seule exception, les rayons fruits et légumes, où on met encore ses articles dans un sac plastique.
L’eau de Vienne est excellente, elle arrive des Alpes, nul besoin d’acheter de bouteille, vous pouvez boire l’eau du robinet sans souci.
Comme en France, vous trouverez des poubelles de recyclage dans la rue : pour le verre, le plastique, le compost, et les vêtements.
Plume Isandre.
En savoir plus sur les initiatives viennoises
Le site de la ville de Vienne page environnement
Le groupe Facebook Zéro Déchet – les Français à Vienne en Autriche
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Participer aux opérations de nettoyage
Lorsque nous étions en volontariat en Bolivie, nous étions à une demi-heure de Sucre, dans une communauté parlant quechua, près d’une rivière. Un lieu plutôt agréable pour venir passer la journée, pique-niquer et pourquoi pas piquer une tête dans la rivière. Le problème, c’est que l’endroit était couvert de déchets… Mais ça n’empêchait pas certains Boliviens de revenir… et de laisser leurs détritus sur place…
Avec notre hôte et d’autres volontaires, on a d’abord installé des poubelles de tri sélectif à différents endroits stratégiques de ce spot de pique-nique avec des panneaux pour expliquer dans quelle poubelle va tel ou tel déchet. Quelques jours plus tard, on profite d’un week-end ensoleillé pour organiser un « trash run » une collecte de déchets. On avait acheté des gants et des sacs poubelles en quantités suffisantes pour que les habitants de la communauté et les visiteurs du week-end puissent participer. Les jeunes étaient souvent curieux de savoir ce qu’on faisait, il suffisait alors de leur expliquer en faisant de la sensibilisation et en les incitant un peu pour qu’ils participent.
Le principe du trash run a été mis en place par Michael Hopkins, un Américain qui s’est un jour décidé à voyager en laissant les endroits qu’il découvre, plus propres que quand il y est arrivé. Après avoir fait ça seul de nombreuses fois, il s’est dit que ce serait sûrement plus efficace de former des groupes. Il a lancé le projet sur une plateforme de crowdfunding et tous les dons servent à acheter du matériel et offrir des repas aux participants.
Pour plus d’informations sur les trash run, voici le lien de son projet sur gofundme.
Tim et Cécilia – Faim de Voyages
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Se renseigner sur les problématiques locales
L’Afrique du Sud, et plus particulièrement Cape Town, est ma destination favorite. Je l’ai découverte lors d’un stage réalisée en 2001. Depuis, je ne peux m’empêcher d’y retourner chaque année. Cape Town est une ville magnifique située entre mer et montagne. La vision de l’immense océan et de ces montagnes nous fait souvent oublier que le pays connait de gros problèmes de sécheresse. Et pourtant, depuis quelques années, ce problème devient inquiétant. Je me remémore d’ailleurs souvent la remarque que nous faisait le propriétaire sud-africain de la maison où nous logions en colocation dès que nous utilisions un peu trop d’eau pour la vaisselle ou la douche : « Please take care, South Africa is a dry country » !
Remarque que nous prenions à la légère. Je comprends maintenant très bien son message et j’essaie à chaque séjour sur place d’économiser un maximum d’eau. Pour cela, il y a pleins de gestes simples à appliquer :
- Ne pas faire couler l’eau du robinet en se lavant les dents mais utiliser un verre d’eau
- Prendre des douches courtes et placer un seau dans la douche pour récupérer un maximum d’eau et la réutiliser pour les toilettes par exemple
- Ne pas faire couler l’eau pendant la vaisselle mais remplir le bac…
J’essaie d’appliquer ces gestes au maximum car même si je n’y reste quelques semaines, chaque petit geste est primordial (certains touristes d’hôtels luxueux ont d’ailleurs du mal à comprendre certaines réductions car ils ont payé…). Les réserves d’eau sont depuis 2 ans très faibles et les incendies de plus en plus nombreux…
Julien – Voyage Afrique du Sud
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Avoir une trousse de toilette responsable
Voyager régulièrement m’a amené à remettre en cause beaucoup de choses. C’est l’un des grands bienfaits du voyage d’ailleurs, mais ça, c’est une autre histoire !
Récemment, je me suis penchée sur le contenu de ma trousse de toilette. Pour des raisons écologiques, mais aussi économiques et dans une optique de minimalisme, je supprime et remplace bon nombre de produits industriels.
Voici les quelques produits dont je ne pourrais plus me passer aujourd’hui :
- pour me laver, je veux du solide :un shampoing solide bio et un savon de Marseille (le vrai, le vert, avec 72 % d’huile d’olive). J’utilise le même savon pour me brosser les dents (promis, ce n’est pas si mauvais que ça) et pour faire ma lessive.
- Pour sentir bon, je veux toujours du solide : une pierre d’alun en guise de déodorant et du parfum solide (je l’ai acheté au Maroc, mais avant, je ne prenais pas de parfum du tout).
- Pour le reste : une coupe menstruelle pour mes règles (c’est tellement une révolution !), de l’huile de coco ou de l’huile de jojoba pour hydrater la peau et les cheveux et une lingette make up eraser pour me démaquiller avec de l’eau seulement (ça marche même sur du maquillage waterproof).
Quelques vecteurs d’amélioration pour cette trousse de toilette : des oriculis pour remplacer les cotons de tige, une brosse à dents en bois et du maquillage bio pour remplacer mon mascara et mon rouge à lèvre.
Bon Baisers.
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Avoir des couverts réutilisables
Parfois, les gestes les plus simples sont les plus utiles et peuvent épargner beaucoup de déchets. Une action simple que nous avons mise en place rapidement dans nos sorties/voyages est d’avoir toujours une paire de couverts dans notre sac, accompagnée d’une petite serviette réutilisable et d’une paille.
Pas besoin de s’acheter un ensemble de couverts « fancy ». Prenez ceux que vous utilisez chez vous.
Pour les pailles, inox, verre ou encore bambou se trouvent en cherchant un peu en magasin.
Si cela vous paraît trop simple, alors vous pouvez agrémenter ce kit d’un verre réutilisable et d’un tupperware. Cet ensemble vous permettra de profiter d’un jus pendant vos visites ou encore d’une part de frites au Food truck du coin sans produire de déchet.
Laura et Pierre – Deux Evadés.
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Emporter une gourde
J’ai découvert la magie de la gourde depuis que je suis au Canada. Ici, tout le monde à une gourde et il y a toujours un endroit pour la remplir d’eau fraîche. C’est tout simple, mais je trouve ça fou, car ça évite d’acheter et de consommer des bouteilles d’eau. Sachant qu’on boit environ 1-2 bouteilles par jour et par personne, c’est énorme l’économie de plastique que nous faisons. En plus la gourde est souvent beaucoup plus pratique qu’une bouteille d’eau, on peut l’accrocher, on peut y ajouter des fruits et la contenance est souvent plus grande.
Pour mon dernier road trip en Amérique Centrale, j’ai bu quasiment uniquement avec ma gourde. Il y a certains pays ou ce n’est vraiment pas recommandé de boire l’eau du robinet. Mais si tout le monde prend une gourde dans les pays ou l’eau du robinet est potable, on réduirait les déchets de bouteilles de plastique considérablement.
Ameloche Voyage.
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Utiliser un steripen
C’est au cours d’un premier voyage en Indonésie qu’on a réalisé l’ampleur de la pollution plastique et la nécessité d’aller plus loin dans notre lutte contre le fléau du jetable. Dans un pays tropical où le moindre mouvement déclenche un tsunami de sueur, il faut bien s’hydrater mais peu d’hébergements proposent des bonbonnes d’eau potable où remplir nos gourdes. Elles ne suffisaient donc pas à limiter notre consommation de bouteilles en plastique. Alors où sont les alternatives ? Les Micropur au goût infect ? Bof…
En Malaisie, nous découvrons les distributeurs d’eau purifiée aux UV. Le litre y coûte environ 10 fois moins cher qu’une bouteille d’eau.
Mais ces distributeurs sont encore peu nombreux, alors on a déniché un petit outil bien pratique : le SteriPEN ! Il s’agit d’un purificateur qu’on trempe 90 secondes dans 1 litre et il détruit 99,99% des bactéries et des virus. La version ULTRA peut traiter jusqu’à 8000 litres et se recharge en USB. Son coût : 80€. On a fait le calcul : au rythme de 4L d’eau par jour à deux, soit l’équivalent d’environ 2€ de bouteilles d’eau, le SteriPEN est rentabilisé en un peu plus d’un mois et c’est sans compter tous les déchets qu’on ne créé pas ! En plus, à la fin de la durée de vie du purificateur, la société s’engage à le recycler et en envoyer un nouveau.
Nous l’avons utilisé pendant deux mois lors d’un nouveau périple en Asie et avons bu sans soucis l’eau du robinet et même de puits. Ce petit objet nous accompagne partout maintenant et les bouteilles d’eau en plastique (à part nos gourdes) sont enfin ancrées dans le passé !
Claire & Jérémie – Soundwave on the Road
30 Commentaires
Plein de bonnes idées pour la planète ! Merci. Je ne connaissais pas le SteriPEN… je vais, de ce pas, me pencher sur la question 🙂
Merci à toi pour ta participation 😀
Super intéressant cet article ! J’essaie petit à petit de mettre en place le zéro déchet chez moi et en voyage. Ce n’est pas toujours une réussite car il faut souvent anticiper, puisque tout est fait pour nous faire consommer un max de plastique (d’ailleurs j’ai jamais compris ce besoin de tout suremballer, maintenant même les concombres sont emballés au supermarché alors que pendant des années ce n’était pas le cas), mais Rome ne s’est pas faite en un jour et l’important c’est petit à petit de mettre en place de nouvelles habitudes chez soi et en voyage !
Je suis d’accord avec toi, pour tout, c’est un loong parcours, je fais le maximum d’efforts en achetant en vrac et en réutilisant toujours mes contenants, c’est un véritable effort sur soi et un ré-apprentissage mais c’est gratifiant au final 🙂
J’essaie de faire tout ça au maximum, même si je n’ai pas encore participé à des opérations de nettoyage, j’essaie au moins de ramasser de mon côté… !
Et c’est déjà une super initiative que de faire preuve d’abnégation en ramassant ce que les autres laissent derrière 🙂 En espérant qu’un jour tout le monde prenne conscience que ramasser pour jeter dans une poubelle ne demande pas non plus un effort physique considérable 😉
J’ai bien apprécié la lecture de cet article coopératif, notamment l’idée du steripen, je connaissais déjà le reste. Je trouve cela compliqué de ne voyager qu’avec ma gourde car dans la plupart des pays que je visite l’eau n’est pas potable et il est difficile de trouver des bonbonnes d’eau filtrée pr un refill. ça me semble donc être la solution idéale !
je n’ai pas trouvé de shampooing solide bio ne me laissant pas un sale résidu gras ds les cheveux alors je me les lave au savon de Marseille et c’est parfait ♥️.
Bien entendu, il convient de refuser les sacs en plastique pr tout achat, et contrairement à l’Autriche, en Allemagne, aucune caissière ne rouspétera si les fruits et légumes sont mis en vrac sur le tapis .
C’est fou comme les habitudes ont la vie dure ! Personnellement je ne vois pas le soucis des légumes et fruits en vrac sur le tapis surtout quand les sacs qu’on te propose au supermarché s’autodétruisent quand tu les réouvres à la maison… N’hésite pas à aller voir mes articles sur les shampooings bio, solides, cruelty-free et français 😀 J’en suis très contente !
je ne connaissais pas le principe des trash run mais c’est une très bonne idée!
Une très bonne idée pour allier l’utile à l’agréable 😀
Moi qui essaye de faire de plus en plus attention au quotidien, je suis contente de lire tous ces témoignages. Il y a des choses que je ne connaissais pas du tout et que je trouve super ! Depuis quelques mois, nous ramassons les déchets que nous trouvons sur notre passage avec Guillaume lors de randonnées. Des tout petits gestes, mais si tout le monde agissait ainsi, la planète ne serait que plus belle <3
Vous êtes géniaux :-* C’est une très bonne initiative ! Tout le monde devrait le faire et a fortiori tout le monde devrait éviter de jeter des choses dans la nature 🙂
très sympa cet article !
Merci 😀
Il y un truc que je ne connais pas : lingette make up eraser = ? Aurait-on un lien à partager, on en trouve où, c’est fait en quoi pour ne nécessiter que de l’eau même sur un maquillage waterproof sans devoir s’arracher la peau? 😛
Sinon, avec des lingettes réutilisables, un peu d’huile (de n’importe quoi) fait généralement un pas pire travail aussi.
J’utilise l’huile aussi personnellement ! Je ne connais pas non plus les make-up eraser mais n’hésite pas à aller demander à Léa sur twitter 🙂 (https://twitter.com/lea_jjn)
Super article! C’est vrai qu’on a tendance à se relâcher en voyage alors qu’il faut rester vigilant! Je suis assez fière de lire que je fais déjà une bonne partie de ces gestes, même si évidemment l’amélioration est une recherche perpétuelle! J’aimerais essayer de moins acheter à emporter en voyage, ou du moins prendre des produits plus “bruts”! Pour les ramassages je ne sais pas si tu connais Mountain Riders mais ils en organisent au printemps dans les stations de ski après la haute saison touristique, je vais essayer d’y participer 🙂
Ah non je ne connais pas du tout ! Mais ça peut m’intéresser aussi du coup 😀 Je le garde de côté ! Merci :-*
Je ne connaissais pas le steripen, ça peut valoir le coup pour un prochain séjour en Asie.
Dernièrement au Cambodge, nous avons loué un vélo auprès d’une société impliquée dans un projet locale visant à reduire les bouteilles en plastique. Du coup, avec le vélo on reçoit une gourde d’eau pleine. il y a un distributeur d’eau (l’énorme bouteille de plusieurs dizaines de litre) dans la salle d’accueil. Et donc on nous invite à aller chez les partenaires du projet pour remplir la gourde (avec le nom du projet dessus pour être tranquille).
Sauf qu’aucun des très rares partenaires que nous avons rencontré n’avait de distributeur plein. Ils ont l’affiche, le distributeur mais plus d’eau…
Sinon j’ai des pochettes à sandwichs hyper plate, hyper fine. Je les prends avec moi car ça ne prend pas de place et ça me permet d’emporter des restes ou de faire mes sandwichs sans courir après de l’aluminium ou du plastique jetable. J’en parle là si ça intéresse quelqu’un : https://avenuereinemathilde.com/pique-nique-zero-dechet-en-voyage-ou-la-maison/
Et on ne prends pas de couvert, sauf des cuillères.
Dommage pour les distributeurs d’eau ! L’initiative est bonne. C’est vrai que le Steripen semble au final la meilleure des solutions dans le cas des pays où il est compliqué de trouver de l’eau potable en libre service 🙂
Merci pour ton article ! Je vais lire ça de ce pas 🙂
Ravie d’avoir participé à cet article, l’ensemble des textes donne un tour assez complet des gestes simples à adopter. Mais c’est sûr que c’est plus facile à mettre en place quand le pays soutient aussi cette approche.
Clairement ! Malheureusement beaucoup des pays qui font face à ce genre de problèmes en ont souvent beaucoup d’autres à résoudre… Alors si on peut aider… 🙂
Oui, c’est sûr, on peut toujours faire quelque chose !
Top cet article! Très belle idée, concernant le tri des déchets, j’essaie aussi de faire un maximum et d’eviter le gachis alimentaire, j’ai aussi opté pour la cup pour ma trousse de toilette et la douche est écourtée au max! Je ne connaissais pas le steripen je vais jeter un oeil! Je pense que nous pouvons tous apporter notre contribution pour améliorer la survie de notre belle planète.
Beau billet bravo à tous!
Merci ! Je suis totalement d’accord avec toi, les petits gestes font les gros changements 🙂
Très bien cet article ! Je n’aurais pas apporté plus d’idées que ce qui a déjà été dit 🙂 et le SteriPen est une super découverte
Merci 🙂 Oui, le steripen semble être le must-have du voyageur 😀
Merci pour cette piqûre de rappel. Les bouteilles en plastique, j’en consomme trop et je veux vraiment essayer de travailler là dessus, je suis bien consciente du problème. C’est mon défi 2018 !
J’en consomme encore aussi, j’ai un peu peur de l’eau du robinet ! Mais je m’y habitue progressivement, pour le moment aucun troisième bras ne m’est pousser au milieu du dos, je pense donc continuer sur cette voie 😉
C’est la première fois que j’entends parler du Steripen, merci pour cet article, il est très rempli, on a vraiment besoin de connaître toutes ces infos surtout quand on voyage. Chez nous, à Playacar, l’écologie fait partie de la vie de tous les jours.